Sécurisation des revenus a venir et emploi du sequestre
A
ALDEBARA
J'ai cru comprendre que les séquestres appliqués à chaque projet jusqu'à présent servaient pour reverser les intérêts des 6 premiers mois ou de la première année.
Ne serait il pas plus pertinent de se servir de cette sécurité que en cas de défaut de projet et de l'utiliser plutôt comme une caution bancaire?
Le porteur de projet verse ses intérêts chaque mois et si il fait défaut on utilise la réserve mise en séquestre.
Évidemment, je peu comprendre que le porteur ne puisse pas dans certains type de projets qui comprennent de la promotion immobilière verser des intérêts dès le début.
Un mix pourrait être aussi envisageable : les 5 premiers mois la réserve est utilisée puis c'est le porteur qui verse directement.
Seconde idée: Demander un versement plus important que le total des intérêts chaque mois, et mettre cette part supplémentaire en séquestre pour le cas ou.
Troisieme question: Le cumul de toutes ces sommes qui sont sous sequestre, le sont elles chez bricks? A la banque du porteur ? chez le notaire ? ...Produisent elles des intérêts? (car sur la quantité ça fait un joli paquet qui pourrait rapporter 2% suplémentaire)
Yack Hary
Des suggestions de aldebara et Lyd qui auraient peut-être permis d'éviter certains des premiers défauts que nous voyons apparaitre depuis quelques mois, ou de les atténuer.
Lyd
Pour compléter , j'aimerai signaler qu'étant sur d'autres plateformes de crowdfunding, j'ai vu se multiplier les procédures suite a des défauts, et cela n'est pas évident de récupérer l'argent même lorsqu'il y a des hypothèques de rang 1 ou des cautions supplémentaires.
Une autre entreprise est caution mais elle est aussi en difficulté par exemple.
Ou bien on apprend alors qu'il y avait de nombreuses garanties que il est impossible de les faire jouer car la société étant sous procédure de sauvegarde ou la loi n' autorise pas de demander l'argent a la caution par exemple.
Ces subtilités n'ayant pas encore eu à se présenter chez Bricks il serait bon de les anticiper et de se servir des leçons tirées des concurrents en prévoyant a l'avance.
Par exemple, si l'on sait qu'il sera impossible de demander un paiement à la caution en cas de redressement judiciaire de la société principale, et que celle ci commence à ne pas pouvoir payer et est endettée, ne pas se faire balader et demander directement à la caution de payer. Ils se débrouillerons entre eux plus tard mais au moins la procédure est engagée.